À la mémoire de celle qui n’est jamais revenue,
à celle qui a perdu sa langue,
15 octobre 2025 07:57
Dans ce grand reportage, Mohamed Mir retourne à Boussemghoun, le ksar millénaire de sa mère exilée. À travers ruines, langue amazighe retrouvée et mémoire enfouie, il ravive l’histoire effacée des sept racines dispersées. Un voyage intime et historique, entre silence hérité, identité perdue et promesse de transmission.
À la mémoire de celle qui n’est jamais revenue,
à celle qui a perdu sa langue,