Ariella Aïsha Azoulay décrit ,dans ce poème, l'euphorie de l'indépendance, le visage hideux de la colonisation, le viol de la ville d'Alger, le "détournement" de la libération ainsi que l'exlusion de la communauté juive d'Algérie à laquelle elle appartient.
Ibtissem Chachou est enseignante-chercheure à l’Université de Mostaganem où elle réalise des recherches et des publications dans le domaine de la sociolinguistique. Ses travaux de recherche portent essentiellement sur la situation sociolinguistique des langues en ...
La décision d’introduire la langue Tamazight dans le système éducatif national en 1995, après une grève dite du cartable de plusieurs mois en Kabylie, a été célébrée comme une ...
Docteur de l’université de la Sorbonne et professeur des sciences du langage à l’Université d’Alger, Abderrezak Dourari est l’auteur de nombreux ouvrages dont « Les malaises de la société algérienne, crise de ...
« Un mot qui manque en arabe dialectal, hop! On le prend au français et on le conjugue en arabe, on le triture et on en fait un mot », dixit l’humoriste Mohamed Fellag.
La domination coloniale a modifié les liaisons transsahariennes, sans les rompre. L’étude de l’histoire transsaharienne du colonialisme peut aider à comprendre et à surmonter à certains égards la « fracture saharienne ».