Loin de constituer pour eux une simple évidence, nombre d’observateurs sont de plus en plus persuadés que la steppe algérienne, du moins dans le Sud oranais, souffre de la dégradation continue de son potentiel biologique du fait de l’action conjuguée l’homme et de la nature. C’est dire ! Notre reporter est allé à la rencontre de la population steppique – agropasteurs, éleveurs, agriculteurs, chercheurs et responsables politiques – pour comprendre la situation sur le terrain.