Un marbre blanc, perdu dans la campagne de Sidi Bel Abbès. Douze noms gravés, douze vies fauchées un matin de septembre 1997. Devant la stèle d’Aïn Aden, Ali Kader a senti le besoin d’écrire. D’amour et de Sang est né de ce frisson mêlé de douleur et de mémoire, mais aussi d’un irrépressible devoir de témoigner.