C’est l’histoire d’un jeune homme qui quitte sa Kabylie natale. Elle est racontée sans fioritures ni mots superflus dans le moyen-métrage « La maison brûle, autant se réchauffer » (Axxam yargha, maqar anessahmu) de Malik Ait Liotna, retenu récemment dans la sélection « La Quinzaine des cinéastes » à Cannes.