Et si la vraie crise du cinéma algérien était celle de l’imaginaire ? Aux dernières Rencontres cinématographiques de Béjaïa, le débat a réuni les réalisateurs Lakhdar Tati et Yanis Koussim, la productrice Amina Haddad, l’écrivain Mohamed El Keurti, sous la houlette de l’universitaire Latifa Lafer. Et chacun, à sa manière, a planté le couteau dans la plaie.