Le procureur près la cour d’Alger, devant laquelle s’est ouvert, ce mercredi 4 mai 2022, le procès en appel de l’ancien ministre de la justice, Tayeb Louh, a requis de lourdes peines contre les accusés une affaire liée au « trafic d’influence, abus de confiance et entrave au bon déroulement de la justice ».