Au Maroc, la répression contre les défenseurs des droits de l’homme, les journalistes et autres voix discordantes bat son plein. Féroce, même si elle emploie parfois des techniques sournoises, elle écrase, tel un rouleau compresseur, des militants dont le seul crime est de s’être exprimés, d’avoir critiqué ou dénoncé des abus et des faits de corruption.