De nombreux dépassements ont été enregistrés au niveau de l’Agence nationale d’appui et de développement de l’entrepreneuriat (ANADE, ex-ANSEJ) à travers la propagation de « projets fictifs » et des « prestataires corrompus » impliqués dans la dilapidation de l’argent public, selon un communiqué du ministère de l’économie de la connaissance, des start-up et des micro-entreprises.