Pour financer sa guerre génocidaire très couteuse, lancée contre la population de Ghaza en Palestine, Israël avait recouru à une levée de fonds. Une opération organisée cinq mois après le début de la guerre et à laquelle ont participé quatre banques : BNP Paribas (française), les banques d’investissement Goldman Sachs, Bank of American Securities et la Deutsche Bank (allemande).