À moins d’un mois de l’entame de « L’Année de l’Algérie en France », évènement-phare auquel il devait participer, par une nuit froide de l’hiver 2002, s’éteignait dans le silence de la cité Sorecor à Sidi Bel-Abbès, Cheikh M’qalech, « l’artiste des zghaba », des faubourgs populaires de Bario Alto, Gambetta, Sidi Djillali, Village Errih et El Campo.