De l’algérien, à l’arabe, au beur, à l’immigré, puis au musulman. Il me semblait qu’un refrain se répétait. Alors j’ai demandé leur avis à des personnes militantes. Comment expliquaient-elles l’emballement politique de cette année ? Comment se sent-on, en tant que militant, quand les critiques contre des déclarations gouvernementales sont taxées de « complicité » de terrorisme ?