Le ministre français de l’Europe et des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, a affirmé, mardi, sur BFMTV, qu’il a pris « des mesures restrictives de circulation et d’accès au territoire français à certains dignitaires algériens » et qu’il est prêt à en « prendre davantage ». L’Algérie a réagi le lendemain à travers le ministère des Affaires étrangères et de la communauté nationale à l’Étranger, affirmant qu’elle « ne cédera pas » aux provocations, menaces et intimidations et que « toute mesure attentatoire à ses intérêts fera l’objet de mesures réciproques, strictes et immédiates ».