En 1956, au cœur de la guerre de libération nationale, Frantz Fanon rompt avec l’institution coloniale en démissionnant de son poste à l’hôpital de Blida-Joinville. Dans une lettre aussi clinique que politique, il expose l’incompatibilité radicale entre la psychiatrie et un système fondé sur la déshumanisation. Twala reproduit ici ce moment décisif, où Fanon quitte l’ordre colonial pour rejoindre pleinement la lutte algérienne.
Au croisement de la décolonisation et de la refondation des savoirs, l’œuvre de Frantz Fanon a profondément marqué l’émergence de la sociologie en Algérie et en Tunisie. Si son identité de psychiatre et de révolutionnaire semblait...
Dans ce texte écrit aux lendemains de l’assassinat de Patrice Lumumba, Frantz Fanon révèle la logique implacable qui a organisé l’étranglement du Congo : ingérences occidentales, complicité de l’ONU, défections africaines. Il transforme cette mort en...
Dans un discours puissant prononcé à Accra en avril 1960, Frantz Fanon met à nu la mécanique implacable de la domination coloniale et rappelle que la violence n’est pas une dérive des peuples opprimés, mais la...
Dans cette lettre fulgurante publiée en mai 1958 dans El Moudjahid, Frantz Fanon s’adresse directement à la jeunesse africaine pour lui dire que l’avenir de tout un continent se joue en Algérie. Il y dévoile la...
À Timimoun, lors du colloque “Cinéma, société et territoire”, le professeur Mourad Yelles a offert une lecture de deux films que tout semble opposer : Le Clandestin et Révolution Zendj. En scrutant les paysages filmés, il...
Trente ans après la « décennie noire », Hmida Ayachi revisite l’histoire de l’islamisme algérien. À partir d’un texte pionnier largement enrichi, il explore les zones grises du face-à-face entre État et islamistes, éclairant les continuités...
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