Chargement ...

Célébrer l’Indépendance, attendre la décolonisation

Ariella Aïsha Azoulay décrit ,dans ce poème, l'euphorie de l'indépendance, le visage hideux de la colonisation, le viol de la ville d'Alger, le "détournement" de la libération ainsi que l'exlusion de la communauté juive d'Algérie à laquelle elle appartient.


Bab Azzoun, juillet 1962. Photo de Mouhamed Kouaci.

L’Indépendance a été célébrée