Chargement ...

« L’université algérienne est productrice des maux qui gangrènent la société »

Dans cet entretien avec Twala, les coordinatrices de l’ouvrage collectif paru cette année chez Koukou Éditions : « L’université désacralisée. Recul de l’éthique et explosion de la violence », Louisa Dris-Aït Hamadouche, Khaoula Taleb-Ibrahimi et Fatma Oussedik analysent les raisons de la décadence de l’université algérienne et esquissent des pistes de réformes.


Louisa Dris-Aït Hamadouche : Absolument. Cette sordide agression est symptomatique de la dégradation généralisée, et se reflète dans deux dimensions en particulier : l’impunité et son pendant la non-redevabilité. Ce sont de véritables fléaux.