30 octobre 2020 13:44
"Les zones d’ombres", très évoquées ces derniers mois, ne sont pas seulement synonymes de l’absence de développement, de marginalisation et de misère, ces régions sont également privées du droit de l’accès à la communication et à l’information de ce qui se déroule dans le monde extérieur. La couverture téléphonique est considérée comme le grand absent dans de nombreuses régions en Algérie.
Si la première licence de téléphonie mobile a été attribuée en 2001 et malgré l’existence de trois opérateurs téléphoniques en plus d’Algérie Telecom, force est de constater que la couverture n’a pas été généralisée à l’ensemble du territoire algérien, près de vingt ans plus tard. Il est même des régions, au cœur de la capitale, qui ne disposent pas de la couverture de téléphonie mobile et de la connexion internet.
