L’affaire de l’écrivain Boualem Sansal, qui purge une peine de 5 ans de prison depuis la mi-novembre 2024, pèse beaucoup sur la relation algéro-française. La France, dont il acquis la nationalité, place son cas en haut de ses préoccupations. Ce qui s’est produit à l’Assemblée française en constitue, si besoin, la preuve.