Un groupe d’hommes assis autour d’une table jouent aux cartes. Un passant s’approche de l’un d’eux, ils échangent quelques mots. Le client scanne alors un code QR sur le téléphone du cambiste clandestin, ce dernier lui remet l’équivalent cash en dinars -non convertibles- après avoir reçu virtuellement 200 euros. La scène se déroule sur la place Port Saïd, place emblématique du marché parallèle des devises en Algérie depuis toujours, désormais à la page en matière de technologie et se permet de dématérialiser une partie de ses transactions.