Derrière la polémique autour du slogan « L’Algérie est algérienne », l’intervention d’Abdelrazak Makri révèle une tentation idéologique plus profonde. En essentialisant les symboles et en réduisant l’identité nationale à un marqueur unique, ce discours fait peser des risques sociaux et démocratiques durables sur une société plurielle.
L’on dit que Ferhat Mehenni s’apprête, encore une fois, à proclamer quelque chose mi-décembre. D’où vient cette soudaine surexposition ?
Pour la justice et pour l’histoire, Saad Bouakba doit être libre. Non parce qu’il a raison, mais parce qu’une nation qui emprisonne pour un récit erroné est une nation qui n’a pas encore résolu son rapport...
À l’heure où le monde semble glisser vers une nouvelle ère de brutalité — sécuritaire, économique, identitaire —, la désaliénation n’est pas un mot d’ordre moral. C’est une stratégie.
La colonisation n’a jamais eu besoin de violence quand elle trouvait, parmi les siens, un interprète zélé prêt à se distancier de ses semblables jusqu’à l’outrance.
À travers le verbe creux et les symboles dérisoires de Mounder Bouden, le populisme s’avance masqué sous les traits d’une parole prétendument populaire mais profondément vide.
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